L’art japonais du Kintsugi est l’art de la mise en valeur de la fêlure par l’or. L’objet brisé est alors non seulement réparé tout en conservant ses cicatrices qui l’embellissent et renforcent son individualité.
Ici cet art du Kintsugi est appliqué directement sur le sujet tiré de la Nature. Le sujet est donc réparé en quelque sorte de l’adversité qu’il traverse incessamment compte tenu du contexte dégradé dans lequel la Nature évolue désormais continuellement.
Mais la Nature a t-elle besoin de cette réparation? Cette correction apportée par l’Homme est-elle nécessaire ou dispensable? Cette manière de réparer, humaine par excellence, appliquée à la Nature, ne signifie t-elle par extension que l’Homme se répare lui-même tant il fait partie intrinsèquement de cette Nature.
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